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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 13:43

http://img.manga-sanctuary.com/big/beck-manga-volume-33-simple-23682.jpgAuteur : Harold Sakuishi

Nombre de volumes parus au Japon : 34 (terminé)

Date de sortie du volume en France : 13/01/2010

Synopsis : L'album de la consécration est en route ! En attendant, Beck se prépare pour un Greatful sound d'anthologie, qu'ils doivent clôturer sur la scène principale… Question : joueront-ils Devil's way ? La chanson d'Eddy a en effet disparu de leur répertoire de concert, sous la pression de Ryûsuke. Autre question : M. Saitô finira-t-il vieux garçon pornographe ? Le retour de Momo pourrait changer bien des certitudes…


Critique : Les Beck entrent en studio afin de préparer un album qui devra être à la hauteur de l’attente suscitée par leur performance lors de l’Avalon Festival. Et pour cela, ils se retrouveront entourés des meilleurs…


Scott Lambroza est fidèle à sa réputation : les répétitions des membres de Beck sont très éprouvantes pour chacun d’entre eux. Mais l’ensemble du groupe sait que le résultat sera à la hauteur des efforts fournis. Pendant ce temps, Ken se rapproche de Momo avant d’apprendre qu’elle prévoit de se marier très prochainement… Alors que l’album avance à grands pas et que Beck est en pleine tournée aux Etats-Unis, quelques détails restent à régler comme la pochette de l’album ou la participation de Beck au prochain Greatful Sound…

Avant-dernier volume pour Beck. Et Harold Sakuishi est en passe de réussir ce que beaucoup de ces collègues se révèlent incapables de faire : finir une longue série en beauté. Malgré le fait que ce tome, comme les précédents, se lise en moins d’une quinzaine de minutes, le lecteur savoure chaque planche, chaque dialogue de cette dernière ligne droite où la consécration internationale de Beck prend peu à peu forme. Les passages en studio, les bribes de concerts, les différents préparatifs, les réflexions des membres, tout est passionnant et ce volume se lit parcouru de frissons. 

Plus qu’un tome. Cet avant-dernier volume frôle la perfection et il est difficile de trouver le moindre défaut dans le récit d’Harold Sakuishi. Une fin en apothéose. Du très grand art. 


10/10

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